Il n’y a pas si longtemps, lorsqu’une personne homosexuelle décédait, l’organisation des funérailles était confiée à sa famille. Le conjoint ou la conjointe n’avait pas le droit de parole. Pire, il arrivait que sa présence au salon funéraire ou à l’enterrement dérange ou ne soit pas tolérée. Heureusement, les temps changent.